« Dans un contexte marqué par de grandes difficultés d’accès aux soins, et face à un risque réel de la disparition de toute une profession », la Sénatrice tire la sonnette d’alarme. Elle a également saisi le Président de la Caisse nationale d’assurance maladie et la directrice de l’établissement dans le département. Après calcul, elle leur pose la question : dans le contexte actuel, « qui peut aujourd’hui accepter de travailler pour 1,25 euros nets par déplacement ? ».
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