Le chantier ne pourra donc pas démarrer dans l’immédiat, la justice devant désormais examiner le dossier sur le fond pour déterminer si la déclaration d’utilité publique du préfet est valide ou non. « Un soulagement » pour les associations, qui estiment que « cette pause doit être l’occasion d’ouvrir le débat ». De son côté, le préfet annonce qu’il « recevra une délégation des associations qui ont demandé à le rencontrer sur ce dossier », mais rappelle que « l’occupation actuelle du plateau est illégale et doit cesser dans les plus brefs délais ». Les militants, eux, ont déjà quitté le camp qu’ils occupaient dans le bois de la Colombière.
L’autorisation des travaux pour la retenue collinaire à La Clusaz est suspendue
Le tribunal administratif de Grenoble a rendu sa décision aujourd’hui (mardi), après le dépôt par 5 associations environnementales d’un référé.