Selon lui, « le Pays du Mont-Blanc est une criante caricature » de la surfréquentation, « au travers des manifestations aux retombées mondiales, telles les courses de l’Ultra-trail du Mont-Blanc au bilan carbone catastrophique ». Jean-Marc Peillex affirme que la situation est « souvent insupportable », alors que les récents événements climatiques « ont amplifié ces souffrances » sur l’environnement. Pour lui, « il ne s’agit pas d’interdire, il nous faut réguler ».
Lire la suite de l'article sur Odsradio »
