Il met ainsi en avant les débordements du côté des gens du voyage et des riverains : entre les occupations de terrains illicites, les troubles à l’ordre public et les tirs avec des armes à feu de la part des habitants du secteur. Il qualifie ces actes de « faits gravissimes », qui contribuent à une « fracture sociétale ». Le sénateur demande donc une évolution de la réglementation, la restauration du dialogue entre les gens du voyage et les collectivités, ainsi que l’amélioration des conditions dans lesquelles l’accueil est fait.
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