Vers un meilleur encadrement du télétravail frontalier ?

C’est en tout cas le souhait des partenaires franco-genevois, qui plaident pour une solution pérenne.

Ils veulent en effet étendre l’autorisation actuelle sur le long terme afin de permettre au personnel frontalier de télétravailler au moins un jour par semaine. Une mesure qui n’aurait pas de conséquence en matière fiscale et d’assurances sociales. Un régime dérogatoire a pour rappel été mis en place depuis le début de la crise sanitaire afin de protéger les personnels français travaillant de l’autre côté de la frontière. Cet accord bénéficierait aussi à la diminution de la pollution et à la réduction des déplacements quotidiens.