En août dernier, les gendarmes avaient dû intervenir lorsqu’elle avait décidé de se poster devant le domicile de son ex-compagnon pour lui partager ses sentiments. Ce n’est pas la première fois que la prévenue a recours aux appels abusifs. Le tribunal l’a condamnée à 3 mois de prison avec sursis.
Annecy: prison avec sursis pour un chagrin d’amour
La quinquagénaire n’ayant pas supporté sa rupture avec son compagnon, a passé près de 750 appels sur les téléphones professionnels et personnels de cet homme.