Ils étaient poursuivis pour « altération frauduleuse de la vérité et usage de faux en écriture ». La nouvelle direction du club les soupçonnait notamment d'avoir antidaté des documents. L'ETG devra également verser 2.500 euros à Pascal Dupraz en réparation d'une procédure jugée abusive à son encontre.
Les anciens cadres de l’ETG relaxés
Pascal Dupraz, son fils Julian et l’ancien président Joël Lopez étaient jugés devant le tribunal correctionnel de Thonon.