A Gaillard, l’ADN ne correspond pas
Les traces relevées sur les habits de la fillette de cinq ans victime d’une agression sexuelle n’appartiennent pas à l’homme placé en garde à vue.
Hier soir, une réunion avait lieu à l’école du Salève. Et selon le directeur académique de Haute-Savoie, l’agression n’a très probablement pas eu lieu dans l’enceinte de l’école, ni à sa périphérie. Pour la mère, cet ADN pourrait toutefois appartenir à une personne qui s’était occupée de la fillette dans la journée de l’agression. L’enquête se poursuit et la garde à vue devrait s’achever ce matin.