Chambéry: nouveau bébé mort de façon suspecte, l'hôpital confirme

La ministre de la Santé a précisé mercredi matin que la poche de nourriture qui lui a été administrée bien avant les autres petites victimes, ne faisait pas partie du fameux lot contaminé. La juge en charge du dossier était en Savoie mardi. La vice-présidente du pôle santé publique de Marseille cherche des réponses sur les circonstances qui ont amené à la contamination de plusieurs poches alimentaires. L’hôpital de Chambéry dans un communiqué confirme ce 4ème décès suspect précise qu’il a cessé toute collaboration avec le laboratoire Marette le 16 décembre 2013 et qu’il utilise depuis des poches industrielles disposant d’une autorisation de mise sur le marché. Les parents eux, attendent toujours de connaître la vérité sur cette terrible affaire