Le maire de Cluses réfute toute discrimination

Le tribunal correctionnel de Bonneville a examiné lundi matin le conflit qui oppose la CFDT au maire de Cluses.

Jean Claude Léger était accusé de discrimination syndicale. En cause une chambre à l’EPAD de Cluses refusée il y a un an à la mère d’une déléguée syndicale. Cet agent avait pourtant obtenu dans un premier temps un accord verbal de l’établissement qui s’était ensuite rétractée sur ordre du maire. Jean Claude Léger ce matin a justifié sa décision au nom du principe d’équité et a réfuté toute discrimination. L’avocat de la CFDT a demandé 4000 euros d’indemnités et 10 000 euros de dommages cet intérêt. L’affaire a été mise en délibérée au 9 décembre 14 heures.