Violences ou mort naturelle?
L’enquête sur la mort du chambérien Jonathan Vioud est relancée.
Un nouveau rapport d’expertise évoque la thèse des violences. Une thèse que sa famille défendait depuis le début. L’autopsie avait pourtant déterminé une mort naturelle à cause d’une rupture d’anévrisme. Les faits remontent au printemps dernier, Jonathan, âgé de 22 ans, a trouvé la mort en sortant de boîte, en marge d’une bagarre, à Chambéry. Une reconstitution est prévue la semaine prochaine à l’îlot Freizier.