Près de 200 chauffeurs sont attendus. Ils dénoncent une concurrence déloyale exercée par les chauffeurs de plateformes comme Uber, notamment via la pratique illégale de la maraude électronique (prise en charge de clients sans réservation préalable).
Cette tension locale entre taxis traditionnels et VTC dure depuis la saison hivernale, avec des épisodes violents, dont l’utilisation d’armes en janvier et des incendies de véhicules Uber en février.
Les syndicats réclament une application stricte des règles pour protéger leur métier et éviter que leur avenir soit décidé sans leur participation.